reprise des cours le 18 septembre
a 17h30 pour le cour ado
18h30 pour le cour de kali débutant
académie sarc self défense urbaine de st Florent sur cher
défense urbaine et kali
qui somme nous ?
Le SARC, Système d’Action Rapide de Contrôle
Système de self-défense français, dont la mise en application est conforme aux codes modernes de la société française.
Le SARC n’est pas qu’un ensemble de techniques (par ailleurs très efficaces dans leur mise en application de défense personnelle) de percussions, de projections, de luxations et leurs amplifications par l’utilisation des Points de Pression… C’est un concept universel d’utilisation du corps dans un contexte par nature changeant, sans repères fixes, hormis le cadre législatif.
Une fois les principes intégrés, le corps, en union avec l’esprit, sera capable de s’adapter sans délai, les techniques propres à chaque situation jaillissant spontanément, guidées par la nécessité et conduites dans le stricte cadre de la loi et des articles sur la légitime défense.
Le système est présenté sous une forme complète :
Pré-conflit, ou travail gestuel et verbal, afin d’éviter le conflit, repérage des lignes et des lieux de repli
Conflit : fuite (option largement envisageable), combat (durée moyenne : 5 secondes) par tous les moyens légaux, protection d’une tierce personne
Post-conflit : traitement d’urgence des blessures, alerte des autorités, gestion du traumatisme psychologique par l’intervention d’un professionnel
Pédagogie du SARC :
Le SARC travaille beaucoup sur le mouvement instinctif et le sens de l’improvisation. L’élève doit tout le temps sortir de son conformisme.
Le travail du premier geste est essentiel. Nous considérons qu’il n’y a pas de blocages, mais directement des contre-attaques.
Ce premier mouvement est la base commune de tous les enchaînements et finalités qui sont différentes selon le public visé : on accentuera le travail sur le dégagement et la fuite pour les civils, sur le contrôle de la personne pour les représentants de l’ordre.
Le SARC est, à contrario des styles figés se pratiquant à travers une seule et unique forme, un système évolutif se calant d'abord sur l'individu, ses capacités, ses besoins, ses envies.
Il est, par la diversité de ses techniques - percussions, projections, luxations, utilisation des points de pression (Kyusho/Dim Mak)- accessible à tous et à toutes, à travers un projet personnalisé.
C'est le SARC qui s'adaptera à chacun, et non vous qui devrez vous adapter à un moule prédéterminé, qui ne vous correspondra jamais à 100%.
L'importance du matériel :
Comme tous les systèmes basés sur la réalité, le SARC donne une part importante au matériel d'entraînement, qui doit être le plus possible ressemblant au matériel réel, et à l'environnement : ce qui fait la différence entre un entraînement sportif et/ou de loisirs et un entraînement "reality based" est l'adaptation aux terrains : pas de stabilité spatiale (introduction d'objets gênant sur la surface de travail), pas de stabilité temporelle, travail du regard périphérique, mises en situations réalistes avec une mise en oeuvre de moyens importants.
défense urbaine académie robert paturel
LA DÉFINITION DE LA DÉFENSE URBAINE
De son passé de compétiteur de haut niveau, et son long parcours d’entraineur et de formateur dans les disciplines de combat de toutes natures, Boxe Française, tonfa, bâton, kali, couteau etc…, ROBERT PATUREL a acquis une réputation méritée de référent en matière de disciplines d’affrontement.
De son parcours de fonctionnaire de Police opérant dans les services confrontés à la violence la plus dure mais aussi par sa connaissance de la voie publique avec ses différends de toutes sortes, il possède une expérience de toutes les formes d’infractions de violence et du contexte légal dans lequel notre société traite ces délits.
Chercheur infatigable dont la curiosité n’a d’égale que l’ouverture d’esprit, il a consacré ces dernières décennies à étudier les formes de combat les plus variées dans un seul but : en tirer la substantifique moelle et créer une méthode de défense que l’on puisse vraiment mettre à la portée du plus faible et du moins entrainé.
Cette méthode, la DEFENSE URBAINE, a pour but d’offrir les moyens à toute personne de se protéger lors d’une agression, qu’elle soit verbale ou physique, en lui offrant plusieurs systèmes de réponses adaptées.
Ces réponses, aussi efficaces que réellement à la portée de tout un chacun, sont pensées pour être facilement intégrées, retenues et ressorties dans un contexte de surprise, de stress, voire de sidération que ne connait pas le monde de la compétition sportive.
Le programme de La DEFENSE URBAINE comprend une formation sur :
- les disciplines de percussion de toutes sortes et les moyens de s’en défendre (parades, esquives, ripostes).
-La défense sur les attaques armées (bâton, couteau etc.…)
-La défense au sol
-Les différentes clefs et contraintes.
-La défense contre plusieurs adversaires.
- Tous ces réflexes de riposte sont étudiés en situations concrètes.
Et comme, justement, ces situations d’agressions ne sont pas prévisibles, l’originalité de la DEFENSE URBAINE est de proposer une formation sur le comportemental ; cette approche des paramètres humains d’un conflit, chez l’agresseur comme chez la victime, permet, le moment venu, d’anticiper le conflit et de l’éviter au lieu de le gérer.
C’est pourquoi, la méthode de ROBERT PATUREL comprend des modules conséquents sur la gestion du stress, la négociation, la légitime défense, et le secourisme.
Ce sont ces matières qui constituent l’élément le plus novateur de la DEFENSE URBAINE car le plus grand athlète du monde n’est rien s’il perd ses moyens et s’il ignore ce qu’il peut ou doit faire face à une agression inattendue.
Cette méthode finalisée après des années d’études et de recherches, est à l’image du doux gorille qui l’a réalisée ; elle a pour but de former des gens honnêtes, efficaces et déterminés face à des agressions injustes, toujours dans le respect de la Loi et sans jamais se mettre au niveau de l’agresseur.
Site officiel - robertpaturel.com
kali
LES
ARTS MARTIAUX PHILIPPINS
Les termes "Arnis", "Eskrima" et "Kali" sont presque synonymes et sont utilisés pour désigner non pas un art martial mais plutôt un ensemble de plusieurs arts martiaux originaires des Philippines, un archipel de plus de 7000 îles situé dans le Sud Est asiatique. C'est pour cela que l'on parle des "Arts Martiaux Philippins" (AMP) ou en anglais les "Filipino Martial Arts" (FMA).
Pour mieux comprendre ses origines, il faudrait remonter à travers sa longue histoire, et les nombreuses migrations qu’elle a vécues, les dernières étant la venue des espagnols au 16e siècle puis celle des américains au 19e. Avant cela, durant des milliers d’années, elle fut aussi le théâtre de beaucoup de passages, chinois, indo-malais…
Au cours de toutes ces périodes, les habitants développèrent et améliorèrent des méthodes de combat utilisant à la fois des armes de différentes tailles (épée, couteau, bâton, lance, etc) mais aussi diverses formes de techniques à mains nues extrêmement efficaces, que cela soit en boxe, lutte, clés, contrôles…
L’Eskrima a rejoint au fil du temps la culture philippine au point qu’on la retrouve désormais enseignée dans les écoles aux enfants, les armes ayant laissé la place à des bâtons en rotin pour éviter les blessures et sont souvent utilisés par paires afin de développer les facultés psychomotrices, la dextérité manuelle, les réflexes, la concentration, etc.
Malgré son côté « assagit », et malgré le rituel présent dans l’enseignement propre à chaque art martial, les techniques très dépouillées et pragmatiques en font un outil particulièrement adapté pour la défense personnelle. De nombreuses personnes de toutes origines, femmes, hommes, gardes du corps, personnel de sécurité à travers le monde la pratique actuellement dans le but de savoir se défendre, que cela soit à mains nues ou face à un agresseur armé.
Pour en savoir plus, nous vous invitons à découvrir :